Chez Ouihelp, on s’engage à ne recruter que le top 5% des auxiliaires de vie pour vous offrir la meilleure qualité de service possible.
Rencontre avec Audrey, auxiliaire de vie chez nous depuis décembre 2018 :
Petite, mes grands-parents maternels étaient gravement malades, c’est ma maman qui prenait soin d’eux, et lorsque mon grand-père est décédé, ma grand-mère, qui était aveugle, est venue habiter avec nous. Ma mère réalisait alors ses repas, sa toilette, et l’accompagnait au quotidien, j’étais tellement admirative de tout ce qu’elle accomplissait que j’ai souhaité en faire mon métier.
J’ai obtenu un BEP Carrières Sanitaires et Sociales en 2009 avant d’être diplômée en 2012 d’un DEAS (diplôme d’état d’aide-soignante). J’ai travaillé dans différents types de structures : des hôpitaux, des EPHAD ou encore à domicile. Je préfère accompagner des bénéficiaires à leur domicile car cela me permet de créer une réelle relation de confiance car je ne m’occupe que d’une seule et même personne.
Chez Ouihelp, pour les « cas lourds », on travaille en binôme, on se relaie, il n’y a pas 10 auxiliaires de vie pour 1 bénéficiaire. Cela nous permet de créer du lien avec lui et sa famille, d’établir une relation de confiance. Nos plannings sont stables, et nos horaires également. On connaît l’histoire des personnes âgées chez qui on intervient, on développe une relation de proximité. Ici, on a le temps de bien faire les choses. Là où mes précédents employeurs me donnaient 45 minutes, je dispose aujourd’hui d’1h30 pour la réalisation des mêmes missions, ce qui me permet de faire les choses calmement et correctement.
Ce qui me plaît c’est écouter les personnes, leur apporter les soins dont ils ont besoin, faire attention à eux, essayer de les protéger eux, ainsi que leur autonomie.
Chaque cas est différent, mais en règle générale pour accompagner des pathologies comme Alzheimer ou Parkinson, il faut faire preuve de patience, être observateur, prendre le temps de toujours tout expliquer, qui on est, ce que l’on fait, pourquoi on intervient. Souvent, un lien très fort se crée avec les familles car elles ne comprennent pas la maladie, elles sont en colère ou dans le déni, on y va en douceur.
Je m’occupe de 2 personnes différentes, je réalise des missions de nuit et de jour. Pour le moment, j’interviens sur les villes de Lambersart (59130) et Lille (59160). Chaque journée est différente car elle dépend de l’état physique et moral de mon bénéficiaire, même si mes tâches sont similaires : aide à la toilette, aide au lever, aide au coucher, préparation des repas, accompagnement, garde de nuit.
J’accompagne Monsieur DUPONT*, victime d’un AVC en octobre 2017, depuis maintenant 1 mois. Sa femme est démunie face à cette situation, elle est même parfois dans le déni et minimise beaucoup les choses. Ce couple n’a pas d’enfants, ce sont des personnes très attachantes. Madame a beaucoup besoin de discuter, j’ai la sensation de lui apporter autant de soutient qu’à Monsieur, je me sens réellement utile, c’est comme si j’étais un membre de leur famille. D’ailleurs, elle me dit souvent que je suis comme la fille qu’elle n’a jamais eu, ça me touche. *nom du bénéficiaire changé pour préserver son anonymat
En règle général, on dit de moi que je suis agréable, que j’ai toujours le sourire. Je suis douce, je parle calmement, et je suis respectueuse.
Je suis très heureuse d’être chez Ouihelp. J’ai eu des problèmes avec ma précédente entreprise, j’avais perdu confiance en moi. On m’avait conseillé de changer de voie, mais j’ai persisté, et j’ai fini par intégrer cette start-up. Elle m’a redonné confiance en moi, et je souhaite travailler longtemps pour Ouihelp et ses bénéficiaires ! Nos plannings sont réguliers, il y a un vrai suivi des personnes en situation de dépendance dont je m’occupe, et l’entreprise me laisse le temps de réaliser correctement mes tâches. Merci !
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